La boite de vitesse
Peugeot 203 de 1949
En attendant que les pièces moteur arrivent et que la peinture durcisse, je m'attaque à la boite de vitesse. Elle est bien sale et il va falloir gratter.
Je dépose les tringleries en repérant bien leur position et passe un coup de diluant partout. Je dépose la butée, la nettoie et la trempe dans l'huile jusqu'à sa repose au dernier moment.
La crasse vient bien avec l'aide d'une brosse en bout de la perceuse. Finalement, je n'ai pas mis trop de temps pour qu'elle redevienne belle.
Je trouve qu'elle est un peu dure à tourner à la main et pense que c'est du au fait que le plein d'huile avait été fait avec de l'huile de boite au lieu d'huile moteur.
J'ouvre le couvercle supérieur avec délicatesse et constate qu'une bille est posée sur les commandes de fourchettes. Il y a trois douilles équipées de ressorts et de billes pour maintenir les vitesses en position. L'un d'eux a pris du jeu et la bille est sortie de son logement. Je dévisse cette douille et resserti le bord avant de la reposer. Ces douilles sont réglables ce qui peut aider aux problèmes de vitesses qui sautent.
Je manœuvre la boite en injectant du diluant avec le pistolet à peinture. Le résultât est impeccable, La pression diffuse partout jusqu'au fond et toute la mécanique est décrassée et débarrassée de cette huile épaisse. Je sèche et badigeonne de l'huile moteur partout. Les mouvements sont plus souples. Je confectionne un nouveau joint à la manière des vieux mécanos, au marteau et à la bille. Je referme et essaye tous les mouvements pour chaque vitesse.
Il fait sec et pas trop froid alors, je passe un coup de peinture à châssis sur les parties en métal.
La voila prête à être remontée.
Il reste un peu de temps et comme le facteur a apporté des colis ce matin, je commence à travailler sur la culasse mais ce sera le sujet d'un autre compte rendu.
Tous les éléments moteur on eu leur dernière couche de peinture et toute les pièces sont arrivées donc le remontage aura bientôt lieu.
La crasse vient bien avec l'aide d'une brosse en bout de la perceuse. Finalement, je n'ai pas mis trop de temps pour qu'elle redevienne belle.
J'ouvre le couvercle supérieur avec délicatesse et constate qu'une bille est posée sur les commandes de fourchettes. Il y a trois douilles équipées de ressorts et de billes pour maintenir les vitesses en position. L'un d'eux a pris du jeu et la bille est sortie de son logement. Je dévisse cette douille et resserti le bord avant de la reposer. Ces douilles sont réglables ce qui peut aider aux problèmes de vitesses qui sautent.
Je manœuvre la boite en injectant du diluant avec le pistolet à peinture. Le résultât est impeccable, La pression diffuse partout jusqu'au fond et toute la mécanique est décrassée et débarrassée de cette huile épaisse. Je sèche et badigeonne de l'huile moteur partout. Les mouvements sont plus souples. Je confectionne un nouveau joint à la manière des vieux mécanos, au marteau et à la bille. Je referme et essaye tous les mouvements pour chaque vitesse.
Il fait sec et pas trop froid alors, je passe un coup de peinture à châssis sur les parties en métal.
La voila prête à être remontée.
Il reste un peu de temps et comme le facteur a apporté des colis ce matin, je commence à travailler sur la culasse mais ce sera le sujet d'un autre compte rendu.
Tous les éléments moteur on eu leur dernière couche de peinture et toute les pièces sont arrivées donc le remontage aura bientôt lieu.
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